26/12/2007
Classement dans le top 100...Merci à vous!
Début décembre, j'ai eu le plaisir de recevoir un mail me signifiant que ce blog se trouvait dans le top 100 des blogs "marketing" les plus influents de la plateforme Wikio.
La plateforme Wikio recense plus de 47.000 blogs toutes catégories confondues.
Voici, grâce à vous, ma place dans ce classement :
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23/12/2007
Bonnes fêtes!
Je vous souhaite à toutes et tous de bonnes fêtes de fin d'année!!!
17:45 Publié dans aparté | Lien permanent | Commentaires (0)
20/12/2007
Aparté de Mélanie sur son témoignage
Votre personnalité se révèle dans la lecture de votre blog et avec le temps on se prend en sympathie la rédactrice
Si je vous raconte mon parcours, c’est parce que j’ai également en sympathie le « contradicteur » avec qui vous échangez sur votre blog
Je vous lisais avant son arrivée et depuis j’ai la sensation de partager avec vous deux une amitié de circonstance me retrouvant dans vos échanges (pas simple à expliquer)
Je comprends vos positions respectives dépendant de besoins ou volontés différentes. La motivation de ce courrier est que par moment nous sentons des incompréhensions et je voudrais essayer de vous donner des informations pour vous apporter un autre éclairage car je connais bien la pensée de votre « contradicteur »
J’emplois « nous », car les articles de votre blog sont repris dans un serveur qui les diffuse depuis juin auprès d’un groupement de plus de 400 Ec adeptes du marketing et de « PCS »
Si je connais bien la pensée de votre « contradicteur », c’est que le conférencier cité plus haut, c’est lui !
Je précise ne l’avoir rencontré en quatre ans, que deux heures
Il a crée en moi, et en nous, un appétit de développement du cabinet, a révélé une fibre commerciale que je m’ignorais, une boulimie de conquêtes de nouveaux clients basées sur la fidélisation des anciens.
Le succès est grisant et j’avoue que la direction commerciale du cabinet est autrement plus attrayante que la production de bilans
Pour beaucoup d’Ec, il est le messie d’un nouveau style de management de cabinets, un management à l’anglo-saxonne. Il est reconnu comme un fin stratège de la profession, un conceptuel, un intellectuel du métier comptable et une force de solutions. Je vous laisse juge des résultats de mon cabinet et c’est identique pour les centaines de privilégiés qui en bénéficient.
Pensez-vous qu’entrant dans la profession fraîche émoulue, il aurait été possible de passer, en croissance interne, de 127 à 487 clients en 4 ans dans un fonctionnement classique ?
J’ignore si vous le connaissez bien, mais au travers de ce qu’il a souhaité indiquer dans son blog, ses compétences et de celles ses teams qui nous entourent, ses multiples activités industrielles internationales, l’extériorisation à la profession, l’expertise de l’environnement comptable international, l’implication avec les bigs, son cursus de formation font que cet ensemble pouvait donner des solutions que l’esprit conditionné des EC ne pouvaient imaginer
Je ne dis pas que cette méthode est la seule solution mais elle en est une qui fonctionne merveilleusement bien
Un résumé de ses réflexions :
Pour lui la matière comptable n’est alléchante ni pour le commun des clients, ni le commun des prospects. Elle ne deviendra jamais un produit ou un service d’appel de prospects pour garantir une croissance interne à deux chiffres ou trois chiffres du portefeuille client
Décupler la croissance du cabinet ne peut donc avoir pour origine la matière comptable, elle doit venir de son environnement immédiat
La valeur commerciale ajoutée de l’Ec est le puissant indice de confiance du client, elle doit être sollicitée
Le client souhaite et exprime à l’Ec le besoin de services et conseils croissants relatifs à la bonne marche de son entreprise et de sa vie privée; il doit lui apporter, en tirer des bénéfices et ne plus prescrire de façon inintelligente et illogique
A une réponse produit, c’est la totalité de ceux présents sur le marché qui doivent être présentée au client, à lui de faire son choix, aidé ou pas par un outil d’aide à la décision dont il règle lui-même les paramètres de sélection en fonction de ses spécificités personnelles et professionnelles
L’Ec doit devenir une force de proposition et anticiper les besoins non révélés de services et de conseils
Ces services et conseils doivent couvrir absolument tous les besoins de l’entreprise et de la vie privée pour que l’Ec devienne plus encore l’interlocuteur privilégié du client renforçant sa dépendance au cabinet
Le cabinet ne disposant pas de ces compétences en interne, une ingénierie d’entreprise et de gestion de la vie privée ISO 9001 doit être mise à disposition du cabinet sous le contrôle de l’EC
Ces services doivent être gratuits pour le client et pour l’Ec et intervenir en temps réel du besoin exprimé
Le temps consacré par l’EC ou un collaborateur à cette mission ne doit pas excéder 4% de leur charge de travail habituelle pour l’ensemble du traitement du cabinet
Le service d’ingénierie sera représenté par un seul ingénieur centralisateur (le Référant) des besoins du client et de l’Ec pour éviter l’effet d’envahissement multiprofessionnel
En phase d’entretien de la relation, le client est relation directe avec le Référant qui lui est définitivement affecté, sous le contrôle de l’Ec, par reporting mail au fil de l’eau
Ces services attirent et fidélisent les entreprises n’en bénéficiant pas et deviennent clientes également des missions de base
Je pense que le succès de sa stratégie c’est d’avoir eu l’idée d’appliquer à notre profession une stratégie industrielle de proximité ayant fait ses preuves auprès des Ec anglo-saxons
Il a mis en place un classement (pseudonymes) des résultats hebdomadaires des cabinets qui le souhaitent et peuvent le consulter en ligne, ce qui contribue à une très saine émulation commerciale. Vous rendez-vous compte de l’esprit commercial qu’il a inspiré, une véritable révolution culturelle
Voilà, c’est par sympathie pour votre action et votre blog que je souhaite vous apporter cet éclairage
Elodie, vous pouvez me contacter sur mon email : fiduca@live.fr
Veuillez m'excuser d'avoir été un peu longue
Mélanie M
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17/12/2007
Témoignage partie 3/3 : Quelle stratégie pour quels résultats ?
Père et frère ne le pratiquant pas, l’engouement des clients a provoqué le départ de d’une partie de leur clientèle (transférés) expliqué plus haut, à mon profit (25% de la nouvelle clientèle)
75% de ma nouvelle clientèle pour provient des confrères de la ville
Avoir eu la sagesse de s’interroger sur l’orientation du cabinet lors de mon arrivée, avoir pris le temps de trouver un outil stratégique, d’analyser et d’appliquer semblait à mon entourage, au début, une perte du temps non consacrée directement à l’activité comptable
En janvier 2008 mon portefeuille comptera 487 clients (MPCA + PCS pour chaque client) permettant en 4 ans d’avoir fait deux fois mieux que mon père en 32 ans d’activité et je ne parle pas des revenus; ce qui l’a bouleversé, lui faisant prendre conscience du passéisme de sa gestion. Il a décidé d’arrêter, de nous transmettre ses clients
J’appliquerai « PCS » sur nos deux nouveaux portefeuilles avec deux commerciaux en alternance recrutés pour l’occasion (école de commerce de mon mari ) dans le cadre d’une nouvelle stratégie à quatre ans avec pour objectif la constitution d’un portefeuille de 1000 clients à cette date (je pense que nous ferons beaucoup plus), précisant que l’école de commerce est partenaire de l’opération
Cette opération est dupliquée par d’autres écoles par le biais d’un incubateur auprès de confrères Ec utilisant « PCS »
Fin de l’histoire
17:40 Publié dans Marketing-Vente | Lien permanent | Commentaires (0)
14/12/2007
Témoignage Partie 2/3 : Quelle stratégie pour quels résultats ?
Les analyses, les pistes de développement et les solutions montraient l’absence de culture du milieu comptable des élèves et des profs, donc stratégie inadaptée
L ‘école désolée de ma déception, consciente de ma pugnacité à trouver une solution, rechercha des précédents d’études dans leur réseau, sans trouver.
Début 2003, l’antenne parisienne du réseau de l’école fut conviée à une conférence sur la stratégie du développement de la profession comptable en France par trois des bigs comme organisateurs. Invitée, bluffée et abasourdie par la limpidité et l’évidence de la démonstration je m’entendait dire :
« Qu’il fallait s’endormir avec la mentalité d’Ec technicien et se réveiller avec la profession de développeur de son cabinet comptable
La matière première de l’Ec, ce n’est pas la matière comptable, mais le client
C’est le client qui doit être au centre du dispositif du cabinet et pas le bilan de son entreprise
Le portefeuille est un gisement de richesses, qu’on considère qu’il n’est un portefeuille de missions, oubliant qu’il est avant tout, un portefeuille de clients
Enfermées dans un système de pensée unique et formatée, nos mentalités d’Ec considèrent les missions comptables comme le fruit alors qu’elles ne que le noyau laissant à d’autres la chair savoureuse, le vrai fruit étant le client
Que le capital travail de l’EC devait s’innerver du capital confiance du client
Qu’il fallait réaliser que lors de la vente d’un bien immobilier, ce n’est pas le notaire avec son lourd cursus de formation, ses investissements financiers pour acquérir sa Charge, ses frais de structures, qui gagne le plus, mais l’agent immobilier, sans formation, louant des locaux de douze mètres carrés
Que le cancérologue ne crée pas sa richesse uniquement avec les opérations d’ablation des lésions (ce pourquoi il a la vocation et qui a déterminé ses études) mais surtout avec les 90 euros des visites de 7 mn pré et post opératoires récurrentes à vie du patient
Que ce n’est pas avec la conception, la fabrication et la vente d’imprimantes, son cœur de métier, que Lexmar réalise les vrais bénéfices. mais c’est avec les cartouches d’encre
Qu’il fallait être à l’aise avec l’idée que malgré la noblesse que l’on attache à son cœur de métier, celui-ci n’est peut être pas l’activité la seule ou la plus rentable d’un cabinet d’expertise comptable mais aussi les services associés ou annexes répondant aux besoins et aux sollicitations des clients
Que l’Ec doit être en situation de réagir en ne considérant pas les services associés comme indigents parce qu’ils sont le cœur de métier d’autres professions riches pour lesquelles l’Ec est un prescripteur non-rémunéré
Que ces services associés font partie du cœur de métier des EC anglo-saxons
Que les résultats financiers cumulés de ces prescriptions pour un seul client sont supérieurs au résultat des missions de base de ce même client
Que l’Ec devait se réapproprier ses clients et bénéficier de ses potentialités
Que les Ec pratiquant des services inédits se singularisent, fidélisent et génèrent un effet d’entraînement de prospects en provenance d’autres cabinets »
A l’écoute des solutions évidentes mais inimaginables pour un cerveau d’Ec, de l’école et de moi-même, j’ai insisté pour rencontrer le conférencier; il m’apprenait la finalisation d’une déclinaison de la stratégie adaptable à toutes tailles de cabinets et acceptait de l’expérimenter également dans mon cabinet sous le nom de « Pilotage Clients Services(PCS) »
Le dernier trimestre 2003, passionnée par le « fighting spirit » insufflé, j’ai repensé mon fonctionnement démarrant en janvier 2004 (127 clients à cette date) sous les railleries du père et du frère.
PLV en salle d’attente et dans mon bureau, bouche à oreille, prescription importante CtoC, quelques manifestations professionnelles (ville de moins de 20.000 habitants) : un buzz effervescent qui se développe rapidement chez les chefs d’entreprise, effet étonnant et impressionnant, je vois aussi des particuliers pénétrer au cabinet
Les clients de nos trois portefeuilles ont salle d’attente commune et lisent la PLV « PCS »
...A suivre, les résultats obtenus...
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11/12/2007
Témoignage partie 1/3 : Quelle stratégie pour quels résultats ?
Voici le témoignage de Mélanie, jeune EC de 34 ans, envoyé à la suite de mes échanges avec Vincent sur ce blog.
Bonjour Elodie,
Je vous lis depuis longtemps sans jamais être intervenue sur votre blog.
Comme je vous l'ai dit, je suis une Ec de 34 ans associée avec mon frère (41 ans) Ec dans le cabinet commun exploité avec notre père EC en fin de carrière. Chacun a sa propre clientèle
J’apprécie votre blog pour de multiples raisons. L’analogie de la féminité, de la jeunesse, du secteur d’activité, du marketing, de l’audace, du caractère novateur (professionnellement), d’avoir à prouver auprès d’une hiérarchie plus ou moins septique de votre action (pour moi, mon cher Papa avec qui mon frère et moi rencontrons des soucis générationnels professionnels) et une autre réservée pour ensuite.
En 2002, j’ai reçu pour simplifier, 24% de parts du cabinet, mon frère en détenait 32% et mon père 44%
Notre cas peut intéresser car les 3 ont un style de gestions très différents
Mon père (62 ans), impliqué depuis toujours dans le fonctionnement de l’Ordre n’est jamais au cabinet Il peut remercier ses collaborateurs et c’est souvent que nous devons recevoir ses clients (eux ne font pas de différence) bien que ce ne soient pas les nôtres
Ses clients lui ressemblent, sont ensemble depuis très longtemps, mais beaucoup arrêtent leurs activités, décèdent, etc., et le portefeuille périclite (aucun nouveau client depuis 4 ou 5 ans) et il subit une importante évasion de clientèle depuis 2 ans, je vous expliquerais laquelle après.
Il y a longtemps que nous lui prêchons de s’adapter, prévenance qui avait pour réponse « J’ai toujours fait comme ça, pas question que ça change»
C’est cette sorte d’Ec pour qui « changement » et « marketing comptable » sont perçus comme des obscénités.
La gestion de mon frère est classique. Il était au cabinet depuis 7 ans à mon arrivée. Sa femme exerce une profession juridique libérale, qu’il a mis à profit pour « communiquer » sous son couvert et en commun. C’est devenu un notable impliqué dans « la vie de la cité », club social, etc. ; mais depuis 2 ans son portefeuille décline aussi, pour les mêmes raisons que celui du père
Au cours d’une banale discussion avec mon mari ( a fait une école supérieure de commerce) évoquant la retraite de mon père, il m’a demandé un jour quels seraient mes revenus au moment de prendre la mienne
Question ardue ; un bon moyen était de voir ce qui se passait pour mon frère et mon père.
Après réflexion, j’ai compris que la fourchette d’estimation était vague et peu enthousiasmante.
Ce fut une prise de conscience n’ayant jamais pensé à cela (voie professionnelle familiale tracée)
Pour dissiper ce brouillard, mon mari suggéra d’analyser la situation, de voir quelles pouvaient être les perspectives. Mission confiée à la junior-entreprise de son école.
...A suivre, le résultat de cette analyse et la découverte de solutions...
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08/12/2007
L‘expert-comptable est-il préparé aux conséquences de la communication ? (Partie 2, suite et fin)
Dès lors que l’EC communique à l’extérieur de son portefeuille, implicitement, il chasse dans celui de ces confrères.
Un EC dont la zone de chalandise reçoit la communication d’un confrère doit prendre conscience que celui-ci chasse dans son portefeuille.
Je ne suis pas sûr que tous réalisent ce nouvel état d’esprit apporté par la communication.
Les assureurs y sont rompus, on leur apprend que la saturation de leur marché fait que pour gagner des clients, il faut les capturer à la concurrence.
Un bon agent général d’assurance envoie, pour les compte de ses prospects, une dizaine de lettres recommandées de résiliation par jour aux concurrents, c’est l’acte un de la transformation du prospects en client.
Un mauvais en reçoit trois par jour.
Je gage que dans un proche avenir la majorité des EC auront un tel esprit, les chasseurs et les chassés. L’Europe sera un généreux contributeur qui achèvera cette mutation (observez la pratique de vos confrères anglais !)
J’en connais beaucoup qui l’ont déjà.
Vincent (blog: Expert-comptable et stratégie: Optimiser la rentabilité !)
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05/12/2007
L‘expert-comptable est-il préparé aux conséquences de la communication ? (partie 1)
Post proposé par Vincent (blog: Expert-comptable et stratégie: Optimiser la rentabilité !)
La communication est un outil commercial, son utilisation a pour but de pérenniser et développer le cabinet par augmentation de clientèle...
Pérenniser concerne le portefeuille et ne prête à aucune remarque particulière, mais qu’en est-il pour la communication de développement ?
De quel développement s’agit-il ? Pour tenter de répondre, faisons une rapide analyse de marché à partir des chiffres INSEE
Nombre de créations d’entreprises :
2003 : 292.000 Défaillances : 39.500 Pur : 252.500
2004 : 318.800 Défaillances : 40.900 Pur : 277.900
2005 : 316.500 Défaillances : 42.100 Pur : 274.400
2006 : 321.900 Défaillances : 38.600 Pur : 283.300
Moyenne : 272.025 créations d’entreprises par.
67 % de ces entreprises utilisent les services d’un expert-comptable soit 182.256 créations pour 16.000 EC soit 11 créations par EC.
La répartition géographique montre que selon les régions les rapports en création sont de 1 à 4.
23% des EC captent 44% des créations (Ile de France,…). Etant donné qu’au sein des régions les préfectures captent …etc ; beaucoup d’experts-comptables ne sont confrontés à aucune création d’entreprise dans l’année.
7 entreprises sur 10 en création ne comptent aucun salarié. Les honoraires perçus pour ces entreprises se situent entre 1.000 et 2.000 euros.
Le moins que l’on puisse dire c’est que le marché des prospects issus de la création d’entreprise n’est guère florissant voire inexistant pour beaucoup d’EC.
En conclusion de cette analyse, on peut dire qu’en général, un cabinet qui veut faire de la croissance interne en « développement clients » doit aller chercher les prospects dans le portefeuille clients de ses confrères. Aie !
...Suite de cet article à venir...
16:08 Publié dans communication | Lien permanent | Commentaires (1)
02/12/2007
Titanic
Suite à de nombreuses remarques encourageantes et bienveillantes de la part de certains lecteurs, je profite de ce dimanche calme et pluvieux pour retrouver le chemin du clavier.
En réfléchissant aux sujets de mes futures notes, je me suis aperçue que je ne vous avais jamais parlé de la saisonnalité des postes de responsable marketing et com en Cabinet.
Comme vous l'avez constaté, mon rythme de parution décroît de façon régulière depuis septembre...Ma "période fiscale" se déroulant de mai à décembre...
...Pas besoin d'indice pour en comprendre la cause, les Experts sont plus disponibles lorsqu'ils ne sont pas, eux-mêmes, en période fiscale...évidemment.
Je me retrouve donc forcément le "nez dans le guidon" et même avec la meilleure volonté, je ne parviens plus à prendre le recul nécessaire à l'analyse du marché...Et par conséquent à proposer des posts.
Je tiens à remercier Vincent et Mélanie qui m'ont fourni et me fournissent encore la matière nécessaire aux posts que vous voyez et verrez ces prochaines semaines. Je reprendrai l'"Elodie Touch" dès janvier.
...Et comble du bonheur, le Cabinet déménage aussi en décembre...
Je vous remercie de votre compréhension et vous souhaite une bonne lecture des témoignages et autres posts à venir, co-écrit ou écrit par de fidèles lecteurs...Leur programmation est prévue tous les deux ou trois jours jusqu'aux fêtes de fin d'année.
Au programme : un post de Vincent sur les conséquences de la communication et le témoignage très instructif de Mélanie concernant le fulgurant développement de son Cabinet.
A VOUS LES STUDIOS ;-)
18:36 Publié dans aparté | Lien permanent | Commentaires (1)