22/03/2008

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Ces fameuses pistes de développement sont identifiées :

La spécialisation par secteur : Exemple des pharmaciens. Nous tous attendons comme le Messie que des EC témoignent de leurs réussites sur le sujet. On pourrait s’attendre à ce que plusieurs de nos 21.500 confrères nous expliquent qu’à N-3, constatant qu’ils détenaient un savoir-faire ou l’avaient acquis comme outil tactique de captation de cette clientèle de pharmaciens : Combien a coûté l’apprentissage de ce savoir-faire, combien ils détenaient de pharmaciens en portefeuille à N-3, combien à N, et leurs perspectives à N+3, le ratio financier coût de formation/temps passé/bénéfices. Quels sont les bénéfices annuels obtenus : 20, 50, 100.000 € ? Comment s’est passée la reprise de clientèle vis à vis de ses confrères ? Combien il existe de pharmacies dans leurs villes, quelles sont les techniques commerciales employées pour conquérir une clientèle dans les villes voisines. Voilà ce qui intéresse concrètement les EC

Alors je pose la question, pourquoi n’est-il jamais porté à notre connaissance, au travers de la multiplicité de la presse professionnelle et de l’expérience de nos 21.500 confrères Croyez-vous que c’est par souci d discrétion ?
Non, je vais vous livrer ma pensée qui doit rejoindre certainement la vôtre ; tout simplement parce que ce n’est pas si facile de conquérir une nouvelle clientèle car tous les EC ne disposent ni de la formation commerciale, ni des outils de conquête de prospects permettant des résultats autorisant des résultats de 100, 150.000 €/an voire plus, en croissance externe, comme les EC anglo-saxons

La spécialisation par volumes : Exemple l’externalisation au Maroc. Que n’attend t’on des exemples chiffrés, économie sur les coûts de production, temps économisé, bénéfices tirés de l’utilisation du temps vers d’autres taches. Posez-vous encore une fois la question du manque d’informations précise sur le sujet. Je publierais mes propres chiffres sur le sujet en fin d’année (n’ai commencé qu’en janvier 2008)

La spécialisation technique : Exemple, le social. Réflexions identiques, même questionnement. Où sont les chiffres de ceux qui ont des expériences réussies ?

La spécialisation par la différenciation : la valeur ajoutée du conseil. Cette capacité à dispenser du conseil à valeur ajoutée est soit d’origine intégrée dans le cabinet soit il faut l’acquérir et dans ce cas l’outil qu’est le logiciel trouve sa place. En ce dernier cas, nous attendons des témoignages chiffrés de confrères nous indiquant par exemple qu’à N-3 ils ont acquit pour X euros cet outil, que l’apprentissage de cet outil a coûté X et a demandé X temps. Que l’exercice de cet outil au quotidien coûte X temps au collaborateur, qu’à N il a vendu X missions par an qui ont rapporté X euros , si cette action est du « one shot » ou est une mission vendue de façon récurrente, que cette action est en capacité de conquérir une nouvelle clientèle, qu’à N il a capté X clients supplémentaires grâce à cet outil, etc, etc .Voilà ce que nous attendons. Des 21.500 EC en mouvement, c’est par dizaines que nous devrions avoir de tels témoignages de nos confrères.

Avouons qu’il serait plus facile pour nos confrères de bâtir des stratégies basées sur les exemples de réussites des autres et pouvoir ainsi acquérir des certitudes

Qu’on nous montre 100, 200 témoignages d’EC qui obtiennent des résultats supérieurs à 20, 40.000 € nets par an avec ces nouvelles missions et ainsi la population comptable sera confortée. Nous voulons des témoignages de résultats chiffrés !

Plus de blas, blas …mais des résultats !

Vous avez les miens…

Je rappelle à ce monsieur qu’il m’a contacté le 20/12/07 mais ne doit plus s’en souvenir. A suivre

Mélanie M : fiduca@live.fr

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